- (Silence)

- Mouloud Ferraoun.

- Il faut dire que Camus était algérien presque au sens physique du mot,

- dans Aktir trois dernière partie celle qu'il a écrite en 1956

- il dit bien que à propos des événements d'Algérie, il dit j'ai mal à l'Algérie comme d'autre ou mal au poumons

- cela est très significatif je crois et il n'arrivait pas j'ai l'impression il n'arrivait pas à voir clair en lui même

- il n'arrivait pas à voir une issue;

- il aimait beaucoup l'Algérie par conséquent il était donc algérien d'un autre coté c'est un grand écrivain français

- son déchirement est concevable pour un homme aussi sensible ou si juste ou si intègre que lui;

- Quoiqu’il en soit, les musulmans algériens, je crois n’est-ce pas, le comprennent et l’admirent et l’aiment.

- nous le considérons comme une gloire algérienne

- et le fait pour lui précisément qu'il se soit cantonné dans ce silence

- et pour ce qui nous concerne je que c'est une une marque de de sympathie sinon plus pour nous.