- Silence

- Les moments qui précèdent l’heure du départ de la saison de chasse, sous le ciel de la forêt de Maamoura.

- Tout le monde est prêt afin d’affirmer ses compétences ou ses talents dans ce domaine, devenu un sport de plus en plus remarqué,

- et accueillant un grand nombre d’adhérents.

- Rien que dans la région Ouest, environ 2000 personnes pratiquent ce sport.

- Par ailleurs, 38 000 le pratiquent dans les autres régions du royaume.

- La fédération a fait un grand effort pour lutter contre la chasse illégale,

- en désignant un groupe de gardiens universitaires bénévoles au niveau national. Ils sont au nombre de 213.

- Ces gardiens universitaires ont sanctionné environ 500 infractions de chasse dans le cadre de la lutte contre la chasse illégale.

- Au départ, les chasseurs sont soumis à un contrôle strict, concernant surtout les autorisations de chasse et de détention d’armes,

- ainsi que le certificat d’assurance et d’adhésion à l’une des associations et bien sûr, le contrôle des armes.

- Le soir nous les attendons à la sortie pour vérifier s’ils respectent le règlement,

- en ce qui concerne ce qu’ils chassent ou bien leurs armes.

- L’un touche sa cible et l’autre la manque, et le jeu de quête du nombre autorisé de proies continue.

- Ce matin j’ai chassé trois perdrix, j’en ai trois,

- il nous en reste deux à chasser et un lapin. Et les lièvres, il nous en reste cinq que nous n’avons pas encore chassés.

- Depuis 6 heures je chasse, j’ai touché 4 ou 5 proies. Maintenant je pars.

- Une chasse qui ne cesse que quand ils atteignent leurs cibles, elle peut être interrompue parfois

- à cause de la tombée de nuit ou la fatigue qui épuise certains, comme c’est le cas de ces chasseurs.