- Silence

- La ville de Boujdour, comme les autres villes du Sahara Occidental, a dépassé le problème de l’eau,

- problème qui représentait il y a peu le plus grand obstacle à la stabilité de la vie,

- Devant le manque de ressources naturelles d’eau dans la province de Boujdrour,

- l’Office National de l'Eau Potable a opté pour

- le dessalement des eaux de mer, en achetant une première station de dessalement en 1977.

- Elle a répondu aux besoins de la population en matière d’eau potable jusqu’en début des années 90.

- Il y a eu récemment un déficit dans la distribution d’eau potable.

- C’est pourquoi l’office a travaillé, sur deux phases, sur un programme de renforcement dans la production de la satiation.

- Une phase d’urgence dans laquelle il a ajouté une quatrième unité

- ayant permi la production de 300 m³ par jour avec un coût de 3 millions de dirham.

- Depuis l’an 1995, et compte tenu de l’expansion urbaine et le développement démographique que la ville de Boujdour a connu,

- l’Office National de l'Eau Potable a mis en place

- un projet intégré, comprenant une nouvelle station de dessalement

- dont la production atteint 800 m³ par jour,

- afin de réduire le déficit de l’offre de l’eau potable à la population de Boujdour.

- Aujourd’hui, l’eau nous est devenue accessible. Nous n’avons plus besoin d’aller la chercher dans les bassins,

- nous avons l’eau jour et nuit pour ceux qui veulent ériger leurs plantations et ceux qui veulent laver leur linge.

- Nous remercions Dieu pour cela, louange et merci à Dieu.

- Il convient de noter que le dessalement d'eau de mer est soumis à des technologies à coût élevé.

- La production d’un mètre cube s’élève à environ 100 dirhams,

- tandis que le citoyen paye moins de trois dirhams par mètre cube, dans la première catégorie sociale.