- Silence

- Les recommandations du premier sommet de l’entreprenariat entre le Maroc et l’Union Européenne concrétisent les aspirations des acteurs économiques marocains et européens,

- afin de trouver des approches alternatives qui seront comme une valeur ajoutée pour une action commune.

- L’appel a été lancé pour faire une mise à jour du mécanisme de ce partenariat

- en approfondissant le débat autour de l’élargissement des secteurs de l’accord libre-échange

- pour qu’il touche aux autres secteurs, notamment la libéralisation des services.

- Le côté marocain a invité les investisseurs européens à explorer les perspectives prometteuses de la coopération, en particulier les énergies renouvelables,

- l’infrastructure, le transport et les services logistiques.

- Le Premier Ministre Abbes Al-Fassi a appelé, à la fin de ce forum,

- à ce que les opérations d’entreprenariat euro-marocaines continuent à jouer leur rôle afin d’atteindre le statut avancé

- en donnant de la valeur ajoutée qui met en vigueur ce partenariat intensif et divers.

- Nous sommes déterminés à gagner les paris et dépasser les répercussions de la crise économique mondiale.

- Nous devons activer les initiatives prometteuses afin de faire de notre espace euro-méditerranéen

- une zone commune dominée par la prospérité et le bien-être socioéconomique,

- et cette réunion vient dans le même contexte comme une opportunité afin d’exploiter la politique de proximité multidimensionnelle :

- culturelle, politique et économique, et discuter des nouvelles possibilités de coopération et d’investissement.

- Les questions soulevées dans ce forum ouvrent certainement une nouvelle voie devant les réflexions autour des possibilités de coopération disponibles.

- Elles permettent également d’établir une profonde vision des moyens et opportunités de la coopération et d’intégration

- pour les acteurs économiques dans tous les domaines actifs comme le transport,

- les services de la logistique et l’énergie, en particulier le secteur de l’énergie renouvelable.

- De son côté, le Premier Ministre espagnol,

- président actuel de l’Union Européenne, a fait l’éloge des relations entre Rabat et les pays de l’EU,

- en soulignant que les investissements européens au Maroc dépassent 1 milliard d’euros annuellement,

- et en examinant les perspectives de l’application du statut avancé, appelant ainsi à la création d’une grande et forte alliance entre l’Union Européenne et le Maroc.

- Nous sommes ici dans le cadre de l’échange d’expériences, d’idées et de projets qui nous permettrons d’élargir le marché intérieur européen au Maroc

- au profit des opérations d’entreprenariat sur les rives de la Méditerranée. Cette rencontre est un évènement important pour la création d’une grande alliance entre le Maroc et l’UE.

- Elle est importante parce qu’elle représente la situation actuelle des relations entre le Maroc et les pays de l’UE.

- Des relations qui vont nous permettre d’exploiter les opportunités de notre proximité géographique et administrative

- afin d’accélérer nos efforts, de valoriser nos qualifications et d’atteindre nos ambitieux objectifs.

- Un arrêt sur l’accumulation réalisée par les relations économiques et l’exploration de ses perspectives à venir afin d’atteindre la politique de proximité.

- Le pari a fait, aujourd’hui, du statut avancé une source supplémentaire qui prépare le Maroc à gagner les paris de l’intégration au sein de l’Espace Européen.

- Le statut avancé donne en effet un privilège important au Maroc et à son économie.

- Mais ce privilège ne nous permet pas d’en bénéficier, à moins que l’intégration soit profonde entre le marché marocain et le marché européen.

- Pour que cette intégration soit faite, il faut que les produits marocains soient soumis et conformes aux normes européennes.

- Cela va certainement coûter cher aux producteurs et entrepreneurs marocains sur le court terme.

- Mais sur le long terme et au niveau méditerranéen, cela va leur donner un vrai privilège et une importante compétitivité

- leur permettant d’exporter ces produits vers l’Europe et dans d’autres pays.

- Confirmer la décision de créer un espace économique commun, discuter des moyens de financement de l’Union Européen

- pour les programmes de renforcement de l’infrastructure au Maroc, ainsi que l’adhésion du Royaume aux programmes de l’Agence Européenne,

- sont les éléments les plus constructifs que ce sommet a ajoutés sur la voie de la consolidation des relations bilatérales et la création d’autres piliers.